• l'AllevardinLa journaliste du magasine ne pouvant pas être à mon départ fixé à 7h30 en ce jour du 21 Juin m'avait dit: "On va tricher un peu !" Je suis donc allé me changé, et cette photo a donc été prise la veille dans l'après-midi du 20 Juin. Pas la peine de broder... Je vous ai narré cette onzième édition, l'une des plus réussie.

    Il est 14h30, je publie et vais m'installer devant la télé pour suivre cette première étape pyrénéenne.

    A ce soir.


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  • Triste d'assister impuissant au massacre de femmes et d'enfants et me souvenant de la chanson chantée en l'église d'Allevard par Jean-Claude Gianadda, "VIENNE LA COLOMBE", j'avais mis un article à ce sujet, et mon amie toulousaine l'avait complété par une vidéo de youtube que je ne savais pas mettre. Et voilà qu'a ma grande surprise, cette article à disparu, et bien entendu les coms que vous y avez gentiment apporté. Je vais donc remettre les paroles

    Refrain:

    Vienne, vienne la colombe

    Et son rameau d'olivier

    Dans nos cœurs et dans ce monde

    Où la paix est à gagner

    Couplets:

    1) Qu'elle apporte sa lumière

         Pour éclairer nos maison

         Au delà de nos frontières

         Au delà des horizons

    2)  Qu'elle habite nos rêves

          Celui que chante un enfant

          Celui d'un jour qui se lève

          Quand s'annonce le printemps

    3)   Vole, vole, chante et danse

          Dans un ciel de liberté

          Dans un ciel de tolérance

          Le plus beau chant, c'est aimer

     

                                          

     

     


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  • Je me souviens d'un temps où l'on disait des coureurs du tour de France: Les forçats de la route... Ce qualificatif pourrait s'appliquer à mon ami Juan. Il m'avait accompagné avec son copain Jo sur une centaine de km dans mon dixième Allevard-Toulouse.A mon ami Juan perez Cette année, avec deux autres cyclo-sportifs, Michel Gosin et Jean-Pierre Fara, ils avaient décidé de faire Allevard-Nice, 330 km et 2500m de dénivelé, le 21 Juin, le même jour de mon départ pour Toulouse. Partis à 2h10, ils avaient été rejoins à 5 H au col de Lus la Croix haute par leurs épouses en camping-car, pour les assister et les ravitailler toute la journée... A deux km de Senes, catastrophe ! Un chien déboule d'un chemin et fait lourdement chuter Juan ! Lunettes cassées, casque enfoncé, égratignures sur tout le corps, mal au genou, et surtout, une vive douleur à l'épaule gauche ! Serrant les dents, et pour que ses amis ne renoncent pas au périple préparé avec minutie, le voilà qui remonte sur son vélo, et en avant la galère ! Il fera ainsi les derniers 200  km avec une clavicule cassée , reliant avec ses amis Nice en 11h50 de selle ! Chapeau, MONSIEUR PEREZ ! Je me sens tout petit, devant un tel exploit !


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  • Vive l'été ! 

    Aujourd'hui, l'été étant revenu, j'ai fait du tourisme en vélo. En dessous des nuages, le col du grand Cucheron.

    Sur la route du Moutaret

     

     Vive l'été !

       Tout au fond, Allevard, le beau village où mes chers parents m'ont donné la vie...

    Vive l'été !

     

     


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  • Sachant par expérience qu'un vent contraire sévit presque toujours entre Narbonne et Carcassonne, je décide de partir le plus tôt possible, le petit déjeuner étant servi à partir de 7 heures. Bien m'en pris, car très vite, ce vent mauvais se lève, oh ! pas trop violent, mais tout de même... Pour ménager mes jambes, je décide de rouler sur la plaque du milieu, (40 dents) et à l'arrière entre 19 et 21 dents selon le relief de la route. Et la galère commence au dixième km ! Je mets mes mains en bas du guidon et ma tête le touchant presque ! Malgré tout je dépasse rarement le 15 km à l'heure ! Cette position étant pour moi assez fatigante, je me redresse et pose mes mains sur les cocottes, tant pis pour la moyenne ! Mes lèvres se dessèchent et par prudence, je m'arrête pour boire, ce que je ne fais jamais ! J'aperçois avec délice le panneau de Lésignan, car les traversées des moindres villages atténuent considérablement la force du vent... Exténué par deux heures de galère, je décide de reprendre des forces en m'allongeant sur un talus en pente et à l'abri du vent ! Les yeux fermés, je m'engueulais et jurais que  mon onzième Allevard-Toulouse serait le dernier ! M'étant reposé un quart d'heure, prenant mon courage à deux mains, je remontais sur ma fidèle "toulousaine", et à nouveau, vogue la galère ! Mais tout arrive à qui sait attendre ! Voilà enfin Carcassonne, ma ville étape, mais comme il n'est que 11 heures trente, je décide d'aller dormir à Castelnaudary... Aussi, au lieu de prendre tout de suite la route de Toulouse en passant devant l'hôtel de France, je me dirige vers le centre ville et choisis un restaurant où l'on m'assure qu'il y a des pates ! A midi et demi je retrouve la 113, peine beaucoup moins car le vent est moins fort et n'est plus qu'au

     

    3/4 de face... Je m'arrête une nouvelle fois à Alzorme pour prendre un café, puis c'est avec un grand soupir de joie et de soulagement que je rentre enfin dans la capitale du Cassoulet ! L'hôtel qui m'accueille fait aussi restaurant ! Comme il fait chaud, c'est tout nu, qu'allongé sur le lit je vous donne de mes nouvelles, mais c'est seulement à Aveline que j'apprends que je suis en tenue d'Adam... Je téléphone aussi à ma cousine... Je ne suis plus qu'à une cinquantaine de km de la rue Saint-Gaudens où elle m'attend... Au compteur: 548 km et 19km/h de moyenne .

    Narbonne-Castelnaudary

     


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