• Bonjour ! Et oui ! votre vagabond est de retour après de belles journées passées à Saint-Chef pour le centenaire de la naissance de Frédéric Dard.

    de retour

    Première surprise, ce cadeau dès mon arrivée de la mairie de Saint-chef

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    Puis ces retrouvailles avec mon amie Joséphine dont l'amitié augmente (si c'est possible) à chacune de nos rencontre.

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    Emouvant recueillement sur la tombe de son papa. Puis une longue promenade dans Bourgoin-Jallieu où le nom de San-Antonio fleurit un peu partout.

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     Et pour commencer, le mur où sont gravés les 175 titres des San-Antonio. Puis...

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    Après cette ballade, retour à Saint-Chef

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    Comme vous voyez, on ne se laisse pas aller !

    Mais comme ça commence à s'alourdir, à demain pour les dernières photos.

     

     


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  • mini pause

    Pardon, je vis à 100 à l'heure ! J'ai rendez-vous à midi à Saint Chef pour retrouver mon fils, Eric et Joséphine ! A Lundi avec mes excuses :


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  • La météo ayant prévu une journée de pluie, c'est avec un agréablement soulagement, de constater au moment du départ, que la moitié du ciel était bleu. Par précaution nous avions tous un poncho. Comme je n'avais pas de sacoche, j'étais en train d'enrouler le mien autour de ma taille lorsque Eric me demanda de le mettre dans la sienne.

    deuxième jour

    74 km, mais un régal, car pratiquement que du plat, et de longs km sur des pistes cycliste.

    deuxième jour

    Les paysages étaint si beaux, qu'on s'arrêtait souvent pour l'admirer et prendre des photos.

    deuxième jour

    Adorable et affectueux, Médiateur, le petit chien de Joséphine.

    Tout allait bien, lorsque devant nous, vers le trentième km, survint un immense nuage noir gorgé d'eau. Et sans crier gare, des trombes d'eau s'abattirent sur nos échines ! A nos ponchos ! Oui, mais le mien était dans la sacoche d'Eric, Eric qui, allait savoir pourquoi, était parti tout seul, nous distançant de 2 km ! Je fonçais pour le rejoindre... Au bout de quelques minutes, j'aperçu un camping car à l'arrêt, et à l'abri des trombes d'eau, Eric me faisant signe de le rejoindre.

    deuxième jour

    deuxième jour

    Rigolant comme un bossu, Eric me tendit mon poncho sec que j'enfilais sous mon maillot dégoulinant d'eau. Gentiment, le jeune couple de vacanciers accueillirent nos cinq autres amis à se mettre à l'abri, nous offrant même de rentrer dans leur camping car. Quoi que l'on dise, il y a quand même des gens très chics dans notre beau pays de France. 

    Un quart d'heure plus tard, le nuage noir ayant décidé de déverser son trop plein d'eau ailleurs, après avoir remercier ce si sympathique jeune couple, nous repartions sous un généreux soleil.

    deuxième jour

    deuxième jour

    A l'heure du pique nique, (L'intendance nous ayant suivi) nous étions complètement sec ! Nous étions à 15 km de Saint-Chef.

    deuxième jour

    Saint-Chef n'a rien d'un plat pays ! Pour arriver au terme de cette magnifique randonnée, il a fallut escalader une pente de un km avec 6% puis dans les derniers mètres, 9% ! Nous voici arrivé sur la place Frédéric Dard, posant devant l'entrée de l'école que Fréquenta le grand écrivain.

    deuxième jour

    J'ai tenu, avant de nous séparer, qu'on prenne en photo le doyen et le benjamin (24 ans)

    deuxième jour

    Après une longue visite de Saint-Chef guidée un instant par notre ami le maire, nous nous sommes séparer après un somptueux repas, nous disant : A la semaine prochaine. C'est à dire les 12 et 13 Juin. Saint-Chef Fête: Le centenaire de la naissance de 

    FREDERIC DARD.

    FIN

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • suite de la première journée

    Une heure après nous être copieusement restaurés grâce aux plats variés préparés par les organisateurs de cette sympathique rencontre d'amis, entre autre une délicieuse tortilla, nous revoici roulant cette fois discipliné et se jurant de ne plus se séparer ! MDR!!! Et c'est ainsi que par un soleil très accueillant nous sommes arrivé à Chanaz, la petite Venise de Savoie.

    suite de la première journée

    Une charmante petite ville en effet que je découvrais. C'est sur la rive gauche du canal, que se trouve le gite où nous allons passer la nuit.

    suite de la première journée

    En attendant, c'est au bord du canal de Savières très poissonneux qui relie le Rhône et le lac du Bourget, que nous nous désaltérons et reprenons des calories. Eric et Joséphine photographiant ce merveilleux paysage.

    suite de la première journée

    C'est une très gracieuse serveuse du restaurant d'en face qui nous a gâtés selon nos goûts variés.

    suite de la première journée

     C'est en prenant cette dernière photo le long du canal, qu'un violent coup de tonnerre nous fit sursauter, tandis que le petit chien de Joséphine parti dans une course effrénée ! Ce n'ai qu'après de longues minutes d'angoisses, qu'une personne nous indiqua qu'un petit chien grimpant les escaliers à toute allure, s'était réfugié dans la chambre réservée à Joséphine ! Distante de plus de deux cent mètres du coup de tonnerre comment cet adorable Médiateur à pu retrouver cette chambre d'où il était resté que quelques minutes ! Les bêtes ont en effet quelquefois un instinct et une mémoire qui nous étonne !

    La suite à demain pour le dernier jour de cette merveilleuse randonnée, prologue au centenaire de la naissance de Frédéric Dard; fête qui aura lieu à Saint-Chef les 12 et 13 Juin.


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  • Un grand merci à Dominique Chevallet, 1er adjoint du maire de Saint-Chef, et à sa charmante épouse, de m'avoir accueilli et hébergé dans leur villa de Saint-Alban De Roche.

    du rêve à la réalité

    Après un excellent dîner, une bonne nuit et un petit déjeuner selon mon goût, nous voici arrivé au rendez-vous fixé, pour retrouver nos vaillantes et vaillants cyclistes, dont mes amis de longues dates, Eric et Joséphine, fille de l'auteur des San-Antonio et de beaucoup d'autres romans comme: "Il y-a-t-il un français dans la salle ?"

    du rêve à la réalité

    Les yeux pétillants d'amitié, Eric et Joséphine me regardent m'avancer vers eux... A la poubelle, masques et virus... Alors que désolé je dis hélas ! on ne peut pas s'embrasser, Eric m'ouvre ses bras, m'enlace et me crie: Qu'est-ce que tu racontes ? Et on s'embrasse presque violemment, comme pour compenser le temps perdu ! Il en va de même avec Joséphine, admiratrice du papa de Daniel, son ami fondateur et président des amis de San-Antonio. Sur cette première photo, à gauche, Joséphine m'enlaçant, le plus grand, le benjamin, 24 ans, neveu de Dominique, et à sa gauche, le maire de Saint-chef où Frédéric Dard a passé toute son adolescence.

    du rêve à la réalité

     Cette première journée fut très ensoleillée malgré une météo menaçante. 56 km sur les 130 programmés, mais la plus dure à cause d'une montée raide de 6 km, avec des passages de 6 à 7 %, une formalité pour Joséphine, grâce à son vélo électrique ! Elle "volait" malgré ses lourdes sacoches à l'arrière et à l'avant, un confortable porte bagage pour son adorable petit chien "Médiateur!"

    du rêve à la réalité

    Sans le faire exprès elle prit une avance de 500m, et moi, pour faire le malin, je me suis élancé à sa poursuite! Arrivé à 20 m derrière elle, la voilà qui "s'envole" à nouveau grâce à une nouvelle forte pente ! Arrivé à mon tour au sommet de la bosse, je ne vis qu'un tout petit point au bout d'une très longue ligne droite.  Je mettais toute la gomme pour la rejoindre, mais j'y renonçais au bout de quelques km, puis m'arrêtais pour attendre mes autres amis. Au bout de 5', Je me retrouvais tout seul ! Je fis demi tour, et après quelques km, je contournais un rond-point, tournais à gauche me disant qu'ils étaient partis par là ! Je m'arrêtais devant la mairie d'un village, puis téléphonais à Maurice pour lui indiquer que j'étais perdu, et l'endroit où je me trouvais.

    du rêve à la réalité

    Une demi d'attente et la voiture de Maurice vint me chercher ! C'est donc en voiture que j'ai rejoins le lieu du pique-nique prévu ! Et oh! surprise, d'autres arrivaient, dont Joséphine et son amie, eux aussi s'étant perdus ainsi qu'une voiture suiveuse !

    (La suite à demain, car je m'aperçois que j'ai "publié" avant de terminer l'article, d'où le com. de Jm.rober.)

     

     


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