photo de l'an dernier

Aujourd'hui 50 km.

Mercredi, retrouvaille dans un restaurant de Faverges. L'an dernier j'avais fait les 140 km aller retour en évitant le col du Tamier. Mercredi je vais mettre mon vélo dans ma voiture jusqu'à Aiton, puis en selle jusqu'à Favèrges via Alberville Ugines. 45 km, donc 90 km aller retour. Bien entendu, le gérant du restaurant va nous demander le pass sanitaire et la carte d'identité. Ca ne nous cause aucun problème.

                     Merci monsieur Thomas Pesquet

La nasa ne nous proposant pas cette semaine son image du jour, je vous invite à admirer cette incroyable photo de Paris depuis l'espace, prise par l'astronaute Thomas Pesquet.

                                      Oh! cosmos !

Image prise il y a quelques années par le télescope spatial Humble.

Dis-moi Dieu, toi qui joue à nous régaler en créant tous ces feux d'artifices, comment fais-tu pour ne pas avoir d'accident, alors que nous, pauvres mortels, nous sommes à la merci de ta création qui selon Victor Hugo, ne peut se mouvoir sans écraser quelqu'un !... Des que tu fabriques de nouvelles étoiles, le chaos règne ! La preuve : Dans cette région de formation d'étoiles, on voit des nébuleuses constituées de poussières et des étoiles qui s'y sont formées. Les premières étoiles massives formées à partir de ce gaz ( Où te l'as-tu procuré, petit cachotier ?) émettront une lumière énergétique et des vents qui éroderont, fragmenteront et susciteront leur lieu de naissance ! Un lieu de naissance infiniment plus grand que la pauvre étable où est né ton fils ! Et puis, ces étoiles massives exploseront ! Après des millions d'années, sans doutes quelques heures pour toi, la poussière s'évaporera, le gaz sera balayé, et tout ce qui restera sera un amas couvert d'étoiles....

(C'est une élucubration de Robic, qui sans vergogne, c'est servi d'une traduction de Laurent Lavader, d'un texte publié dans un ancien n° de Science et vie )

                                      41 kilomètres

Seulement, mais malgé tout une journée bien remplie ! Deux heures de lecture, quelques heures à me régaler en regardant ces héros andicapés aux jeux olympique. Photo vielle de 10 ans.

                                     Les deux gosses

Très peu de vélo, mais beaucoup de lecture... Et en lecture, j'aime bien passer du coq  l'âne... Après un S.A (Entre la vie et la morgue), J'ai extrait de mes bibliothèques "Les deux gosses", de Pierre Decourcelle, auteur de romans populaires que je lisais en feuilleton dans les "Allobroges". N'étant plus édité, j'ai trouvé ces bouquins chez les bouquinistes des quais de la Seine. 

Je suis un lecteur très sensible. Autant j'éclate de rire dans les propos de Berrurier, autant je fond en larmes comme dans ces deux gosses. J'entends encore ma tendre épouse dire en prenant une voix d'enfant: "Y pleure mon petit bonhomme ?"

L'ayant lu il y a une quarantaine d'années, je ne me souvenais plus l'histoire de ce drame... Dès les premières lignes, je n'ai pas pu le lâcher, sauf bien entendu aux heures où l'estomac réclame son dû. Je lui ai consacré la journée de hier. D'où mon absence sur mon blog et le vôtre. En soirée, je commencerai la suite des deux gosses, dans un tome intitulé "Fanfan et Claudinet."

Je pars en course. Je vous rends visite dès mon retour.