-
Francis Huster et Fanny Cottençon sont excellents dans cette pièce de Laurent Ruquier: POURVU QU'IL SOIT HEUREUX. La découverte par les médias de l'homosexualité de leur fils est bouleversante. Pour atténuer l'amertume de son mari, elle lui avoue qu'elle même, avant son mariage, a eu une relation sexuelle avec une femme... La fin est très belle. Elle se termine par une forte accolade entre le père et le fils.... Je me suis régalé
Des quiproquos ahurissants de drôleries ! J'ai adoré le jeu des acteurs. Au levé de rideau, Vincent qui va être papa pour la première fois, attend son épouse toujours en retard. En l'attendant, les invités lui demandent s'ils ont déjà choisi le prénom... J'abrège... ADOLPHE ! Comme Hitler !
J'ai aimé la chute à la fin du troisième acte: C'est une fille !
Un nombre impressionnant de rappels. Je ne sais plus si c'est 7 ou 8
Fric-frac. Encore une pièce désopilante de drôlerie, conseillée par ma cousine qui l'avait vu dans le cadre de son métier de journaliste à l'Humanité. Je n'ai pas regretté ! Je recopie le résumé du programme: " L'homme de Loulou est en prison et il a besoin d'oseille, de beaucoup de pognon ! Loulou va se servir du naïf Marcel pour organiser avec jo un fric-frac dans la bijouterie ou travail Marcel, une affaire en or !"
"Après Arletti, Fernandel et Michel Simon c'est Julie Depardieu, Régis Lapalès et Michel Fau qui nous emmènent à faire un tour dans le Paname des années 30, ça gouaille parle de fraiche, de flouze, d'oseille, et surtout ça se paie une bonne tranche de rigolade "
Une pièce que j'aimerai bien revoir !
Féerie ! Un titre mérité pour ce spectacle fantastique de deux heures ! Un mélange de danse et de cirque, le tout animé par une soixantaine de danseuses et danseurs. J'étais gâté car je me trouvais à deux mètres des danseuses de french cancan ! Quel dommage d'interdire de prendre des photos durant le spectacle. Pas de répit dans l'enchaînement des numéros . A l'un deux j'ai reconnu la Goulu dans son rôle de pocharde.
Photos prises sur le programme. Ici l'impressionnante nageuse au milieu de serpents
Fin de mon périple parisien
14 commentaires -
Une première ! Je n'étais jamais monté au sommet de l'Arc de Triomphe de l'Etoile ! Une vue plus surprenante encore que celle de la Tour Eiffel !
1 Direction Tour Eiffel. 2 Les Champs Elysée. 3 Au fond La Défense. Belle vue, mais pas donnée à tout le monde, car j'ai compté 285 marches d'escaliers et pas d'ascenseur.
La tombe du soldat inconnu
Avant d'aller retrouver le magnifique jardin du Luxembourg, voici une vue du restaurant où chaque midi, je venais m'empiffrer avec des menus variés pour 10 e 50
Je mets cette photo à sa vraie place, car par erreur je l'ai mise au jardin des Tuileries ! Toujours aussi splendide ce Jardin du Luxembourg.
Cette photo n'est pas mienne... toutes les fois que j'allais jouer aux échecs au Luxembourg, en passant dans des allées peuplées de bancs, j'imaginais Cosette et Marius lors de leurs premiers regards au grand dépit de Jean Valgean !
Comme autrefois, j'ai été invité à faire quelques parties d'échecs. J'en ai fait que trois, toutes perdues, car à mon grand dépit, les partis étaient limitées à 5 minutes ! J'ai toujours perdu au temps, ayant le regret de ne pas avoir le temps de concevoir la moindre tactique pour tromper l'adversaire !
12 commentaires -
C'est pour tempérer les propos d'un grand ami, Ymer Tneger, que j'ai mis ce titre quelque peu provocateur. En dix jours de vie parisienne, j'ai en effet eu la chance de ne rencontrer aucune violence, même la nuit, et chaque fois que je prenais le métro aux heures où il n'y avait plus de places assises, c'est avec émotion que je remerciais les jeunes gens des deux sexes, qui se levaient instantanément pour m'offrir la leur. Quant à la saleté de la ville, jugez en par ces images:
Rue de Rivoli où je prenais mes repas de midi en face du jardin des Tuileries
Dont voici une image.
Poursuivant ma ballade, je traversais la place Vendôme. Y voyez-vous quelques traces de saleté ?
Boulevard des capucines. Malgré la saleté, LOL ! ces jeunes gens n'ont pas hésité à pique-niquer assis sur leurs derrières. C'est en allant acheter une place de théâtre à Edouard 7 tout près de l'Olympia que j'ai pris cette photo.
C'est sur cette image que je termine cette balade pour aujourd'hui, car depuis hier j'ai mon fils ainé à la maison, et comme un bonheur en attend un autre, nous attendons d'un instant à l'autre mon autre fils Michel. A demain donc.
20 commentaires -
Je ne vais pas m'étendre beaucoup sur cette belle fête de l'Humanité ensoleillée, et cependant, les 14, 15 et 16 Septembre, ce fut une nouvelle fois une énorme réunion de fraternité, l'une des devises de notre belle République
Dimanche, à 16 h, lors d'un débat, le décompte des bracelets vendus à chacun de nous pour entrer dans l'enceinte de la fête,dépassait de 42000 le nombre des participants de l'an dernier !
A chaque coins de rues et d'avenues, une multitude de musiciens, chanteurs, danseurs, tous amateurs mais avec un talent fou méritants les applaudissements chaleureux.
De nombreux débats concernant des situations dramatiques souvent aggravées sous la présidence de Emmanuel Macron, et aussi sur la situation internationale. Ici, ma cousine interwoven Jean-Pierre Léonardini sur la sortie de son ouvrage concernant le théâtre.
Et pour clore la fête, un merveilleux Julien clerc a fait vibrer d'enthousiasme des milliers de fans parmi lesquels un vieillard de 85 ans.
9 commentaires -
Fatigué par le voyage, je vais me contenter de vous montrer la façade du Lycée Lamartine où nous avons vécu, mon épouse et moi, de 1984 à la fin de l'année scolaire de l'an 2000. C'est hier, en revenant du Théâtre de Paris, que j'ai pris cette photo avec une certaine émotion, car au bout de 18 ans plus aucune de nos anciennes connaissances ne travaillent dans ce bahut. A tout de suite sur vos blogs
6 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires