Je l'ai bien connu quand j'étais parisien, car j'ai assisté de nombreuses fois à l'enregistrement de fa si la chanter. J'ai une K7 dédicacée.C'était un gars bourré de talent et vraiment sympa.

Encore une victime du tabagisme. il l'a reconnu lui même: " Je paye la note. Je fumais comme une cheminée de haut fourneaux.

C'est en allant retrouver ma soeur comme chaque dimanche que j'ai pris cette photo. Vu le temps, elle m'avait mijoté un plat de circonstance, une sorte de ragout composé de légumes, pâtes, pommes de terre, viande et saucisses de choux avec beaucoup de jus... Miam miam

Cette image a été prise en octobre 1914, et est centrée sur la région active 2177. Et oui, cette jolie fleur n'en est pas une ! C'est un aspect de notre étoile, notre mère à tous, car nous ne serions pas là pour en parler si notre soleil avait été victime d'une fausse couche ! Les "pétales" sont en fait des tubes de plasma appelés fibriles. Certains sont plus long que le diamètre terrestre. Quand ils se détachent, ces gigantesques tubes de plasma sont appelés Spicules, et quand on les observent dans des régions plus calmes, ce sont des marbrures. La tache 2177 a survécu plusieurs jours après cette photo..... Ne croyez pas que je sois devenu savant ! Je suis simplement l'éternel amoureux qui s'émerveille des beautés de la nature, qu'elles soient à portée de main sur notre merveilleuse planète, où dévoilées dans l'espace grâce à nos grosses têtes que j'admire.

A l'intention de mon ami Rémy, voici sur deux façades ma nouvelle maison située au 15 de la rue François Ponsard. Elle est l'une des rares a être ensoleillée.

La rue, avec au fond la colline de Bramefarine enneigée. Le prolongement de cette rue donne sur la rue de la Gorge où maman m'a donné le jour, grâce à l'amour de mon papa.

C'est toujours avec une grande émotion que je retrouve ma chère cousine Liberté, Lily dans " l'Arbre sec".

Chère Christine, c'est dans ce restaurant argentin que nous nous sommes une nouvelle fois rencontrés. Je pense que comme moi, tu te souviendras longtemps de cette étreinte émouvante, lorsque nous nous sommes dit au revoir...

 Quelle fut agréable, cette surprise faite à mon cousin Lino Sirach et à son épouse Monique, sa cadette de trois jours, pour leurs 70 ans, fête organisée  en grand secret par leur fille Patricia. Déclaré doyen des Sirach à cause hélas ! du décés de mon cousin Jacques, je fus accueilli avec émotion, par cette grande famille dont certains, les plus jeunes,  ne me connaissaient pas.

C'est toujours avec un pincement au coeur que je dis au revoir à la ville rose où tant de souvenirs me rattachent à elle depuis mon adolescence.....